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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 16:20

Vriet-Louis---3--page-176.jpg(cousin) – Né à Asnois le 13/06/1873, fils de Jean et de Augustine Brun. Cultivateur, X, le 27/04/1901 à Civray avec Perolle Adeline.

Matricule 677 - Poitiers

Signalement :

Cheveux et sourcils : noir

yeux rouge, front bas

nez relevé, bouche moyenne

menton rond, visage rond

Taille : 1,62 cent

Degré d'instruction : générale :3 ; militaire : exercé.

 

Décision du conseil de révision et motif : Bon

Détail des services et mutation diverse.

Dans l'armée active

  • parti pour le 68e Régiment d'infanterie, le 16 novembre 1894, et arrivé au corps et soldat de 2e classe le 17 du dit n° matricule 5241.

  • Envoyé en congé le 15 novembre 1896 en attendant son passage dans la réserve en exécution de l'article 22 de la loi du 15 juillet 1889 ( soutien de famille).

  • Dom de l'autorité Mre,

  • certificat de bonne conduite accordé

Passé dans la réserve le de l'armée active le 1 novembre 1897.

Classé sans affectation de guerre, non affecté, comme employé des chemins de fer d'Orléans en qualité d'homme d'équipe à Angoulême du 13 mai 1905 au 06 octobre 1909.

A accompli une 1ere période d'exercice dans le 125e régiment d'Infanterie du 3 au 30 juillet 1900.

A accompli une 2e période d'"exercice dans l' : Ajournée 1er décembre 1903/28/07/ au 1904/464 x 726 x A,1906.

passé dans l'armée Territoriale le 1er aout 1907.

 

Rappelé à l'activité ( décret du 1 aout 1914) au Sce des G.J. le du 07 septembre 1914 au 1er novembre 1914. rentré au dépôt du 68e Régiment d'Infanterie Territorial le dit jour; Passé au150e Régiment le 15 décembre 1914; Passé au 209e Régiment Territorial d'Infanterie le 23 février 1915. passé au 73e Régiment Territorial d'Infanterie le 16 septembre 1917. Passé au 40e Régiment d'Infanterie le 10 janvier 1918,

Condamné le 7 mai 1918 par le Quartier Général de la 6e armée à 1 an d'emprisonnement par application des articles 218-224-135 du code de justice militaire; 1° de la loi du 19 juillet 1901 coupable de refus d'obéissance sur un territoire en temps de guerre et 2° outrage par paroles envers un supérieur pendant le service, circonstances atténuantes admises. Peine pour compter à partir du 8 avril 1918.

Passé au 71e Régiment d'Infanterie le 11 mai 1918. Passé au 71e Régiment d'Infanterie Territorial le 27/09/1918. Passé au 76e Régiment d'Infanterie le 12 novembre 1918,

Envoyé en congé de démobilisation à Angoulême rue de Paris n° 142, le 30 décembre 1918, par le 107e Régiment d'Infanterie, 1er échelon, n° 55.

Campagne contre l'Allemagne du 7 septembre 1914 au 30 décembre 1918.

Reformé n°2, invalidité évalué à 100 %, origine non admise, Don (décision) de la commission de réforme de Limoges du 07 juillet 1921, pour infiltration du sommet droit, (Koels positif),

Localités successive habitées :

02/08/1901 : Civray

09/09/1904 : Angoulême rue Bulon, maison Lambert

27/08/1914 : Nonac Charente

16/09/1919 : Angoulême 142 rue de Paris.

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 18:26

Beneteaux-Jean---Pressac-C.jpg

Extrait du document de 4 pages actuellement sur Jean Beneteaux.


BENETEAUD Jean : (cousin) + 04-11-1918

soldat au 125e Régiment d'infanterie.

34e brigade – 152e division d'infanterie, 9e Corps d'Armée.

  • Genre de mort des suites des blessures de guerre au poste de secours de Bernoville. Acte transcrit le 20/03/1923 à Pressac (86). Mention « Mort pour la France» Inhumé à Guise département de l'Aisne à la N.N. de Guise " La Désolation" Tombe n° 424. Frère de Pierre tué en 1914. fils de François BENETEAUD et de Marie DEPEYROUX - Frère de Pierre tué e 1914.

JMO du 125e RI

Le 04 Novembre 1918 :

A 5h15 le 2e Btn attaque en direction de la cote 162 – Petit d'Orengt.

Dans la nuit les 3e et 1er bataillon sont venus respectivement à Hannapes et dans la ravin N.O d'Hannapes; en place à 3 heures.

Cinq objectifs ( voir carte).

Le 2e Btn franchissant rapidement le canal, atteint aussitôt le 1er objectif; il entame à 6:34 la progression sur le 2e objectif.

Le régiment de gauche (6e R.I) n'ayant pu faire passer à l'Est du canal que 2 sections, le 3e Btn pousse en avant, couvre le flanc gauche du 2e Btn.

Vers 9 heures l'objectif 2 est atteint. Le 2e Btn y stationne, pendant que le 3e le dépasse, prenant l'attaque à son compte; le 2e Btn couvre alors le flanc gauche du 3e Btn.

Prises :

479 prisonniers valides dont 12 officiers, parmi lesquels un chef de Bataillon.(398 par le 2e Btn; 81 par le 3e Btn), 25 prisonniers blessés, dont 3 officiers.

Matériel dénombré :

5 canons de 105 mm

4 canons de 77 mm

5 minenwerfer

6 mitrailleuses lourdes

13 mitrailleuses légères

4 fusils anti-tanks

Des M.W., des mitrailleuses lourdes et légères qui n'ont pu être dénombrées.

Pertes : Officiers : S/Lt Simmonet (10e cie) tué, Cap Boissière (Adj Major me Btn), S/Lt Mallet (11e cie) blessé.

Troupe : tués : 9; blessés : 37

Lieutenant Carmiade évacué ( maladie)

Ce jour là Jean Beneteaud sera blessé

 

Extrait de l'historique du 125e

 

Le régiment reprend les lignes, le 25 octobre, entre Hannapes et Tupigny, ou nous ne sommes séparés de l'ennemi que par le Canal de la Sambre à l'Oise. Les mitrailleuses, solidement postées, décochent des rafales dans toutes les directions, des minenwerfer, en bonne position, projettent de temps à autre leurs bombes et torpilles sur le village, et l'artillerie allemande entasse dans les ravins et les chemins creux de véritables provisions d'obus à gaz. Enfin, le 4 novembre, nous passons de nouveau à l'attaque. A 5 h.30, nos batteries innombrables, massées et dissimulées, mises en position et réglées les jours précédents, ouvrent un feu général sur la rive du canal occupée par l'ennemi et l'immense plateau qui le domine. Ce tir spécial, d'une violence extrême et d'une grande intensité de fumée, se déclenche d'un seul coup, cependant que nos vaillants camarades du 3e génie, qui n'en sont plus à leur coup d'essai, achèvent de lancer les passerelles et les radeaux en toile, sur lesquels nous devons passer la rivière. En même temps, le 2e bataillon, d'un élan irrésistible, traverse le canal et saute sur l'adversaire, capturant prisonniers et matériel. A 9 heures, cependant, le 3e bataillon, à son tour, dépasse le 2e et continue l'attaque. Mais la progression des régiments voisins n'est pas aussi avancée que la nôtre, et le 125e doit stationner une partie de la journée; pourtant, la 11e compagnie réussit par son merveilleux entrain à forcer l'ennemi, qui, toutefois, continue sans répit à nous mitrailler à bout portant avec des pièces sacrifiées. Malgré tout, à la nuit, la fameuse route de Valenciennes est entièrement dépassée.

 

152DI---passrelles-et-pont-Genie-1918-11---2-JMO-pour-blog.jpg

Hannapes, les passerelles pour l'infanterie début Novembre 1918 ( extrait du JMO du Genie de la Division)

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 16:55
En préparation à partir du 19/03/2010.
Servi-Jean-204-RAC---collateraux-MM-Gourdon.jpgRuban de la Croix de guerre 1914-1918

Médaille militaire, Croix de Guerre étoile d'argent



Le 204ème Régiment d'Artillerie de Campagne a été créé par décret ministériel à la date du 1er Avril 1917.
Il n'existe pas de JMO du 204, seulement un historique

Mais beaucoup d'infos sur Georges Servi qui a eu la grande idée de faire un journal de  jour, lors de son passage au 5e RAC

Incorporé le 1er octobre 1911 au 5e Régiment d’Artillerie de Campagne comme 2e canonnier-servant, il est renvoyé dans ses foyers le 8 novembre 1913 avec le grade de Maître-pointeur.


Rappelé à l’activité par l’Ordre de Mobilisation Générale, il arrive au corps le 2 août 1914.

Il est affecté à la 28ème Batterie du 5ème R.A.C., 57ème Division de Réserve. Après l’Alsace et les Vosges, la Division part pour l’Orient et il débarque à Salonique le 23 octobre 1915.





 


Servi-Jean-maitre-pointeur-collateraux-MM-Gourdon.jpg





batterie de 75 en 1914-1915

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 00:00

Chassard Georges Ismael, 137 RI disparu en 1914Cousin : Fils de Pierre et de Florence Aubry. Se trouve sur le monument aux morts de Benet ( 85 -Vendée)

 

Matricule : 203 à Fontenay le Comte.

 

137e RI : Casernement en 1914, Fontenay le Comte, 42e Brigade, 21e Division d'infanterie, 11 Corps d'Armée.

D'après le JMO du 137e RI


28 Septembre 1914: le régiment remplacé à Contalmaison par des éléments du 65e R.I., reçoit l’ordre de se porter au Nord-Ouest d’Albert, en réserve des troupes qui opèrent à l’Ouest de la route d’Albert à Bapaume. A la nuit, elle font face à une attaque allemande qui débouche d’Ovillers et La Boisselle, et les 3 bataillon s’établit dans des tranchées : le 1er à l'Ouest de la route,; le 2e à l'Est; et le 3e en réserve à l'Ouest.

 

29 Septembre 1914: un peu avant la nuit, le régiment reçoit l’ordre d’enlever La Boisselle. Il s’élance sous un violent feu d’artillerie. Quelques compagnies mélangées arrivent à la nuit à 200 mètres du village où elles sont accueillies par un feu très vif qui les obligent à se terrer. Elles se replient légèrement en arrière à la crête dans un endroit favorable où elles creusent, pendant la nuit des tranchées.



30 Septembre 1914 : le régiment subit un violent feu d’artillerie durant toute la journée. A midi, il reçoit l’ordre d’attaquer La Boisselle. Énergiquement enlevé par le lieutenant-colonel Mangin, qui est blessé au début de l’action, il s’avance sous une violente canonnade, et un feu violent et ajusté de l’infanterie, et des mitrailleuses partant de tranchées couvertes et de maisons crénelées. Il parvient à 150 mètres de la lisière Sud, perdant plus de 300 tués et blessés et, ne pouvant progresser, se couche en attendant la nuit. Durant la nuit, les tranchées sont creusées sur place où les Cies de première ligne, mélangées se maintiennent. Le Lieutenant/Colonel Bonne prend le commandement du régiment.


1 Octobre 1914: le régiment se maintient dans ses tranchées. Georges Chassard est noté porté disparu


D'Après le JMO de la 21e Division


1er octobre 1914 : à 01:00 réception de l'ordre d'opération du XI C.A prescrivant la reprise de l'offensive. Celle ci est très lente en raison de l'ardeur du feu ennemi et de la nature du terrain, qui n'offre aucun abri.

A 14:30, la 42e Brigade parvient à 200 m de La Boisselle mais ne peut progresser. De l'artillerie placer vers Pozière les fait éprouver des pertes très sensibles.

A 20 heures la situation est la suivante : vers Tricourt, le 65e qui a progressé très lentement et se trouve à 200 m de la lisière du village.

Le 64e a attaqué La Boisselle mais sa situation reste sensiblement la même qu'à 14 heures. Il a perdu depuis le 27 septembre 724 hommes.

La 42e Brigade a ses éléments avancés à 250 m des positions allemande. Ses pertes de la journée sont d'environ 250 hommes (137e); 70 (93e). Ce jour là Georges Chassard sera porté disparu.

 

Extrait d'un document de 6 pages sur Georges Chassard.


  1915-06 bis - du 137e RI dans le JMO de septembre 1914.

partie de la carte se trouvant dans le JMO du 137e R.I.

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 17:08
Extrait du document de 4 pages sur lui.
Cousin :Condac-Leon---lessac---carriere.jpg  fils de Condac et de Gaultier

CONDAC Léon : Classe 1917 - Se trouve sur le monuments aux morts de Carrières sous Poissy.

 

 

3e Bataillon, 11e Cie

67e RI – 23e brigade – 12e Divison – 6e Corps d'Armée.


Bataille le chemin des Dames :

Etat des faits quelques jours avant d'après le JMO du 67e RI

 


05 mai 1917 : 05:00 du matin le Lt Colonel transporte son P.C. dans le boyau des indochinois, au point 9810. Les troupes occupent toutes à la même heure leur emplacement d'attaque. Le 2e Btn tranchée de Gallipoli et parallèle de départ en avant 3e Btn, partie Est de la tranchée de Gallipoli, tranchée du Tonkin à l'Est de la route Froidmont L..... Est, boyau du bois quartier et nouvelle tranchée réunissant le boyau du bois quartier à la sortie Sud du tunnel du canal. Le1er Btn en réserve, à disposition du Colonel Commandant l'infanterie dans les tranchées de Brody et du courant, à l'Est du boyau Indo-chinois;

L'attaque prévu par l'ordre d'opération n°3 du 29 avril est déclenchée à 09 heures.

A cette heure le 2e Btn s'élance de ses parallèles de départ avec un élan superbe, la gauche en avant. Il marche à la vitesse de 75m à la minute derrière le barrage fait par nos obus jusqu'à la tranchée du camouflet, soutenu en arrière et à droite par la 9e Cie du 3e Btn, les deux autres sections au nettoyage et à la liaison, avec le 20e Corps. La 11e Cie fait face à son objectif de la Ferme Froidmont. La vitesse de marche été calculé d'une manière un peu trop lente; En effet nos hommes sont obligés à certain moment de se coucher pour ne pas dépasser les barrages mobiles de notre artillerie. La tranchée du camouflet est enlevée sans aucune difficulté.

A 09:05, la vitesse de marche est de nouveau ralentie. Elle est de 100 m en 3 minutes.

A 09:08, nous atteignons la 2e ligne allemande. Tranchée du Culot.

A 09:10, nos premières vagues disparaissent au delà de la crête, continuant leur marche sur les batteries allemandes (1er objectif de la 12e DI). Pendant toute cette progression, l'artillerie ennemi ne manifeste aucune réaction; mais une fois la crête franchie, les barrages allemands sont déclenchés.

A 09:29, le 1er Btn mis à la disposition du Cdt de l'infanterie, se porte vers le camouflet et Gallipoli. Pendant ce temps la 11e Cie du 3e Btn, s'est emparé, à 09:15, de la Ferme Froidmont, en la contournant par l'Ouest et par le Nord. Les 9e et 10 Cies ont atteint le point 9924 et se sont prolongées plus au Nord, mais des mitrailleuses postées à 175.6 et à 0, 121 ainsi que dans la partie Est de la tranché du Culot, forcent la 11e Cie à rétrograder avec des pertes sensibles. Des éléments du 2e Btn progresse jusque vers 9927 et ne peuvent s'y maintenir. Ils reviennent légèrement en arrière. A 11 h notre ligne est établie à peu près de la façon suivante. Croupe à l'Est de la carrière souterraine, croupe carré Sud du bois à l'Ouest de l'ancienne carrière souterraine, point 9924, chemin de terre des Vaumaires à Froidmont , une ligne passant à environ 40 m à l'Ouest du chemin les Vaumaires Froindmont s'infléchissant ensuite vers le Sud-Ouest suivant le tracé de l'ancienne tranchée allemande, jusqu'à sa rencontre avec le camouflet et venant se raccorder au Sud de 9920 avec le boyau du Bois Quartier.

La ferme Froidmont n'a pas été conservé, puisque le 3e Btn s'est trouvé complètement en flèche à notre droite, le Corps d'armée voisin n'ayant pu progresser. Pendant le combat 2 Cies du 1er Btn on servi à faire la liaison avec le 3e Btn, c'est à dire dans la partie de nos tranchées orientées face à l'Est. Une Cie est en réserve dans la tranché du camouflet, C.M1 est disposée en arrière des Cies du 1er Btn et concoure à la la défense face à l'Est. Il est difficile d'évaluer le nombre de prisonniers faits par le 67e. La progression est tellement rapide qu'on a pas pu les dénombrer; On peut estimer ce nombre entre 350 et 400, canons de 77, deux obusiers de 150, un canon de 105, plusieurs gros minens et 4 mitrailleuses sont resté entre nos mains, sans parler des nombreux appareils téléphoniques , fusées, grenades de toutes espèces etc. etc.

 


notre progression vers les anciennes carrières a été suivie d'une contre attaque immédiate. Trois autres contre-attaques ont été exécutées par les allemands dans la soirée du 5 et au cours de la nuit du 5 au 6 mai. Une surtout a été très forte; celle qui c'est déclenchée vers 2 heures et demi le 06 mai elle a été menées par cinq Cies au-moins. Aucune parcelle de terrain n'a été abandonnée aux allemands. Toutes les contres attaques ont été repoussées, grâce à la bravoure de nos hommes et à un emploi judicieux et bien flanquant des mitrailleuses et fusils-mitrailleurs.


Le jet de nos grenades a fait beaucoup de mal à l'ennemi et l'aurore du 6 mais nous a permis de voir de très nombreux cadavres allemands alignés devant nos tranchées.


A 13 heures, après un violent tir de préparation, l'ennemi a lancer nouveau une contre attaque qui a échoué.


A 16 heures, une attaque a été menée par deux Cie du 2e Btn du 54e RI, Btn Weill sous les ordres du Lt/Colonel Cdt le 67e R.I pour réduite la hernie que formait notre ligne vers l'Ouest entre la bascule de Froidmont et le Bois Quartier. Arrêté par un violent barrage et par des feux de mitrailleuses, ces deux Cies n'ont pu atteindre Froidmont, mais note ligne a été rectifiée et elle suit maintenant le exactement le chemin N.S. Qui fait communiquer les Vaumaires à Froidmont par la Bascule, se dirige ensuite de la Bascule dans une direction N.S. à l'Ouest du chemin, s'infléchit vers l'Ouest pour gagner le Camouflet et rejoint, enfin, le boyau du Bois Quartier. Dans la nuit les deux Cies 54e qui ont pris part à cette attaque relèguent les deux Cies du 1er Btn qui occupaient, cette partie de notre secteur. En sorte que la situation se présente de la façon suivante.


2e Bataillon en 1ere ligne. 1e bataillon en réserve dans le camouflet et la sape. 3e bataillon dans le Bois Quartier autour de Froidmont.


La nuit du 6 au 7 a été agitée, mais l'ennemi n'a pas contre attaqué, nos fantassins ont creusés des tranchées et ont chercher à s'approfondir le plus possible. Des éléments de réseaux brun ont été jetés devant nos tranchées.


Pertes du 5 mai :

Tués : 2 officiers, 39 hommes. Ce jour là Léon Condac sera tué.

 

Blessés : 4 officiers, 142 hommes

 

Disparus : 4 officiers, 147 hommes.

 

08 mai 1917 : Dans la nuit du 7 au 8, les 1er, 2e, 3e Bataillon sont relevé par le 106e R.I. Le 1er Btn est placé en réserve de division aux Capernes de Coblentz; Les 2e et 3e sont cantonner aux Grandes Roches.
1917-05-05 croquis n° 6- position de la 12e DI dans le JMO

 

 


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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 21:56
Delage-Daniel-1914---matricule-1024-etat-de-service-Poitieu.jpg

Cousin : DELAGE Daniel : classe 1904, Poitiers n° 1024

Signalement :

cheveux et sourcil : châtain, yeux : gris, front : large, nez : fort, bouche moyenne, menton : rond, visage : ovale. Taille 1,61. - Profession : domestique

Degré d'instruction générale : 2

Fils de Pierre et de Angélique Perissart. Marié à Germaine Fontenay en 1911 à Vivonne.

Se trouve sur le monument aux morts de Vivonne.

Décision du conseil de révision : Bon, dispensé ainé de 7 enfants.

Passé dans la réserve de l'armée active le 01/10/1908.

A Accomplie une 1ere période d'exercices dans le 125e RI du 25 août au 21 septembre 1908.

A Accomplie une 2e période d'exercices dans le 125e RI du 14 au 30 avril 1913.

Le 125e RI en 1914, casernement Poitiers et Thouars, 34e Brigade d'infanterie, 17e Division, 9e CA.


Rappelé à l'activité comme conducteur d'animaux de réquisition le 03/058/1914. Arrivée au125e RI le 04 août 1914. Blessé le 18/12/1914 à Zommebecke (Belgique). Décédé des suites de blessures de guerre le 31 décembre 1914 à Vlamertinge (Belgique), ambulance n°4.

Campagne contre l'Allemagne du 03 aout 1914 au 31 décembre 1914.

Lieu d’inhumation:Nécropole nationale "NOTRE-DAME-DE-LORETTE"


 

  Jeudi 17 décembre 1918, vendredi 18 décembre, et samedi 19 décembre : Rien à signaler, amélioration de l'organisation défensive sur tout le front du régiment. Travaux rendus difficiles par le très mauvais temps et l'eau qui rempli les tranchées.

Le 18/12/1914, Daniel Delage sera blessé.

Le dimanche 20 décembre 1914, le régiment est relevé dans la nuit du 19 au 20 par le 90e RI.


Extrait du Document de 4 pages sur Dany Delage.

 

En dessous carte se rouvant sur le JMO du 9e CA en date du 11/12/1914. Ypres en Belgique

 

Le 8e CA le 11-12-1914 du JMO du 9e CA


 

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 16:13

Vriet Henri + 1916

Nom : VRIET Prénoms : Henri
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat - 146e R.I. - [Infanterie Métro] Régiment d'Infanterie
Complément :
Matricule, recrutement : 865 - Poitiers
Date de naissance : 10/03/1886
Commune de naissance : La Chapelle-Baton
Département ou pays : 86 - Vienne
Date du décès : 28/02/1916
Commune du décès : Fleury
Département ou pays : 51 - Marne
Lieu, complément :
Autres informations : Tué à l'ennemi - Fils de Jean et de Madeleine CHARROUX, époux de Léontine PELLADEAU le 16/01/1913 à Asnois - Transcription à Asnois (86) le 16/05/1916

 

Signalement :

cheveux et sourcil : brun, yeux : gris, front : découvert, nez : moyen, bouche moyenne, menton : pointu, visage : ovale. Taille 1,54. - Profession cultivateur

Degré d'instruction générale : 3


Se trouve sur le monument aux morts d'Asnois.

Décision du conseil de révision : classé dans la 1 " partie de la liste ne 1907"

 

Incorporé à partir du 23 février 1915, arrivée au corps le 26 du dit ( 4e régiment d'infanterie ). Passé au 146e régiment d'infanterie le 4 juin 1915. Tué à l'ennemi le 28 février 1916 à Fleury (Meuse).

 

 

JMO du 146e Régiment d'Infanterie


 

 

28 février 1916 – Effectif : officiers 46; troupe 2110

Nuit relativement calme, Dans la matinée quelques tirs de réglage; A partir de midi et en augmentant d'intensité violent bombardement du secteur, avec obus de gros calibre et quelques uns en lacrymogènes. Des avions ennemis survolent nos lignes de 11:00 à 13:00.

15:00 l'infanterie allemande prononce une attaque devant le front du 3e Btn. Le tir de barrage de notre artillerie enraye ce mouvement.

15:30 l'infanterie allemande renouvelle sa tentative d'attaque sur le front des zouaves du 3e Btn du 146e et du 110e RI, mais aucun progrès sérieux n'est réalisé seule la ligne des zouaves à légèrement fléchie.

Des rassemblements important sont signalé dans les ravins Nord du Calvaire. Notre artillerie les disperse.

Bombardement moins intense dans la soirée. Pertes : Officier Capitaine Bariat: tué, Lieutenant Chabanne, S/Lieutenants Lombard, Seguin, Santucci : blessés, S/lieutenant Torbet évacué. Troupe 10 tués; blessés 33. Henri VRIET sera tué ce jour.

 

 


Extrait du document de 4 pages sur Henri Vriet

me contacter pour plus de renseignement

 

 

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20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 16:18
Nicolas jean
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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 17:29

Sous Lieutenant au 135e RI, 12 CiVenin-isidor-etat-de-service-135e-RI.jpge : Cousin par alliance, beau-frère de d'Alexandre Bonneau et d'Eugène Bonneau d'Abzac.

       état de service :

     Incorporé au 135e RI le 16 novembre 1900, arrivé au corps le dit jour, H Mle 2350. Caporal le 29 septembre 1901. Rengagé pour 2 ans avec prime, le 23 mai 1903 (loi du 09 juillet 1901), à compter du 1er novembre 1903, sergent le 26 avril 1904; rengagé pour 3 ans, le 13 octobre 1905 à compter du 1er novembre 1905; Sergent fourrier le 01 juin 1907. Rengagé pour 5 ans, le 05 septembre 1908, à compter du 1er novembre 1908. Rengagé pour 2 ans et 15 jours le 11 juin 1913, à compter du 01 novembre 1913. Adjudant le 3 juillet 1913.

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Guerre 1914-1918 :

Sous/lieutenant à titre temporaire le 03 septembre 1914. tué à Neuville-Saint-Vaast le 17 juin 1915. Rayé des contrôles du corps le 18 juin 1915.

Arrivée d'un détachement de renfort du dépot du 135e, comprenant 3 officier : Lieut Chaillon, 5e Cie,

sous-lieutenant Venin ( 12e cie) et Gourdin Cmd de mitrailleuses); 2 adjudant et 3 homme; accompagné de

400 sous officiers, caporaux, et soldats venant du dépot du 77e.

 


+ le 17/06
/1915 à Neuville Saint Vaast

 

Venin-isidor-fiche-du-135e-RI.jpg

 

( En préparation )

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1 janvier 2010 5 01 /01 /janvier /2010 10:02

Vriet Alfred + 1918Cousin :

Nom : VRIET Prénoms : Alfred
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat - 224e R.I. Régiment d'Infanterie
Complément :
Matricule, recrutement : 907 - Poitiers
Date de naissance : 26/08/1886
Commune de naissance : Asnois
Département ou pays : 86 - Vienne
Date du décès : 30/10/1918
Commune du décès : Berck-sur-Mer
Département ou pays : 62 - Pas-de-Calais
Lieu, complément : Hôpital temporaire 120
Autres informations : Mort de maladie contractée en service. - Transcrit à Surin le 01/11/1918 - Rappelé à l'activité le 17/08/1914 - Évacué pour maladie le 18/10/1918
Monument aux morts de Surin (86)

Signalement :

Cheveux et sourcils : châtain

yeux roux, front découvert

nez pointu, bouche moyenne

menton rond, visage ovale

taille : 1,52

profession tailleur de Pierre

Degré d'instruction : 3

 

Détail des services et mutations diverses :

inscrit sous le n°58 de la liste de incorporé au 77e RI à compter du 08/10/1907. Arrivée au corps et soldat de 2e classe le dit jour n° matricule 8161. Classé dans le service auxiliaire le 04 juin 1919, (pour hyperytrose plantaire ) par Don de Mr le Général Commandant les 7e et 8e subdivision du 9e corps d'armée suivant avis de la commission spéciale de reforme de Cholet (maintenu au corps). Envoyé en disponibilité le le 2509/1909. Certificat de bonne conduite Accordé.

 

Vriet-Alfred---1918-RM.jpgRappelé à l'activité ( décret du 01/08/1914) le 17 aout 1914 à la 9e section de COA, renvoyé dans ses foyers le 29 aout 1914 sa mission terminée,n maintenu service auxiliaire. Dom de la Con de réforme de Poitiers du 12/11/1914 ( arrêté du 09/10/1914). Rappelé à l'activité le 06/04/1915 au 20e Régiment d'Artillerie, classé service armée par décision de Mr le Général commandant les 3e et 4e subdivision en date du 24 avril 1915 sur avis de la commission de réforme de Poitiers le même jour; Passé au 90e RI le 29 juin 1915. Passé au 421e RI le 15 aout 1915 ( cie de mitrailleuses) par Dom Melle n°10268 du 16 juillet 1915. Passé au 224e RI le 28 aout 1916. parti en renfort le 20 novembre 1917. Évacué malade le 08 décembre 1917. Rentré le 23 mars 1918, parti en renfort le 10 avril 1918; Évacué le 06 juin 1918. Rentré le 25/09/1918, partie en renfort le 02/10/1918. Évacué pour maladie le 18/10/1918. Décédé le 30/10/1918 hôpital temporaire 120 à Berck sur Mer, maladie contracté en service « avis officiel n° JG 958 du 24 février 1918.

campagne contre l'Allemagne du 17 au 29 aout 1914 et du 06 avril 1915 au 30/10/1918.

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